samedi 21 mars 2009

Je viens de terminer... Le cantique de l'apocalypse joyeuse, de Arto Paasilinna

Alors, comment dire ? Fidèle à ses origines, il y a des personnages aux noms toujours imprononçables. Et toujours des histoires totalement loufoques. Là en l'occurrence cela commence avec la mort de Asser Toropainen, grand brûleur d'églises, qui dans son testament indique que son héritier pourra utiliser sa fortune, en créant une fondation, dont l'objectif est de construire une église en bois.
Alors j'avoue, j'ai eu du mal sur une bonne moitié du livre, c'est un peu long et j'ai tendance à décrocher facilement. C'est la mise en place d'une communauté isolée et vivant en totale autarcie, avec de temps en temps un contact avec le reste du monde dont on suit l'évolution pas fameuse. Puis on se retrouve quelques années plus tard, la 3ème guerre mondiale est terminée, de grandes villes ont disparu, et la communauté créée par EEmeli Toropainen le descendant de Asser Toropaien est toujours présente... Mais dans quel état... je n'en dirai pas trop.
Bon je ne le conseillerais pas forcément, mais le thème mérite quand même un peu d'attention, car la fin du monde de ce livre est totalement plausible, et ça fait peur.

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